(1) Thérèse Lamartine, Elles Cinéastes…ad lib, 1895-1981, éditions du Remue-ménage, Montréal, Canada, 1985, p. 7
(2) Ibid, p.14
(3) Denise Brahimi, Cinéastes françaises, Coll. Textes/ Femmes, éditions Fus-Art, Paris, 1999
(4) Association féministe créée en 1973, voir chapitre III-3-1
(5) Georges Sadoul, Histoire générale du cinéma, tome 2 : Les pionniers, cité par Emile Breton in Femmes d’images, éditions Messidor, Paris, 1984, p.14
(6) his-story, jeu de mot des féministes américaines pour souligner que l’histoire est écrite par les hommes
(7) Charles Ford, Femmes cinéastes ou le triomphe de la volonté, éditions Denoël-Gonthier, Paris, 1972
(8) Denise Brahimi, Cinéastes Françaises, opus cité, p.9
(9) Nous intégrons Chantal Akerman dans notre corpus car, cinéaste belge et francophone, ses films ont été distribués en France, dont certains coproduits, et y ont connu une importante audience
(10) Le Matin, 20 juin – 1er juillet 1979
(11) Françoise Audé, Ciné-modèles cinéma d’elles, situation des femmes dans le cinéma français (1956-1979), éditions l’Age d’homme, Lausanne, Suisse, 1981, p.190
(12) « Mais qu’est-ce qu’elles disent: Danielle Jaeggi », Le cinéma au féminisme, CinémAction n°9, automne 1979, p. 72
(13) Françoise Audé, Ciné-modèles cinéma d’elles, opus cité, p. 97
(14) voir chapitre I-3-1, p.20
(15) Anne et Jacqueline, « D’un groupe à l’autre » in Partisans n°54-55, juillet-octobre 1970, éditions Maspéro, Paris, p.199
(16) Cité par Françoise Picq, Libération des femmes, les années-mouvement, éditions du Seuil, Paris, 1993, p.12
(17) Photos anonymes, réunies par Catherine Deudon, in Un mouvement à soi, images du mouvement des femmes, 1970-2001, éditions Syllepse, Paris, 2003, pp.5-7
(18) Partisans, opus cité
(19) Photo publiée par La Griffonne, in Douze ans de femmes au quotidien, supplément à l’Agenda-Femmes, 1982, p.6
(20) Plusieurs groupes se font et se défont au sein du Mouvement ; les plus importants sont les Féministes révolutionnaires, la tendance lutte des classes, le Cercle Dimitriev, le groupe Psychanalyse et Politique, les Gouines Rouges
(21) Maïté Albistur, Daniel Armogathe, Histoire du féminisme français du moyen âge à nos jours, éditions Des Femmes, Paris, 1977, p. 456
(22) Partisans, opus cité, p. 203
(23) voir Gisèle Halimi, La cause des femmes, éditions Gallimard, 1978, réédité en 1992, Paris
(24) Manifestation pour l’avortement, 20 novembre 1971, photo de Catherine Deudon in Un mouvement à soi, opus cité, p. 37
(25) Françoise Picq, Libération des femmes, les années-mouvement, opus cité, p. 148
(26) Gisèle Halimi, ibid, pp. 2-3
(27) Propos de Françoise Giroud, citée par Catherine Deudon, Un mouvement à soi, opus cité, p. 56
(28) Propos de Jacques Chirac retranscrits dans Le Monde, 5 avril 1975, cité par Maïté Albistur et Daniel Armogathe, in Histoire du féminisme français du moyen âge à nos jours, opus cité, p. 451
(29) Partisans, opus cité, p. 4
(30) Photo anonyme, in Douze ans de femmes au quotidien, opus cité, p.47
(31) Photo de Catherine Deudon prise le 16 septembre 1985 lors d’une manifestation contre le viol et le racisme, in Un mouvement à soi, opus cité, p. 145
(32) Entretien avec Carole Roussopoulos réalisé par Magali Jacquemin, dimanche 19 janvier 2003, Paris
(33) Vidéa, collectif vidéo de femmes créé en 1974, in « Vidéa : filmer les luttes, les vies, les rêves des femmes », Cinéma d’Aujourd’hui, n°5-6, mars-avril 1976, éditions Lherminier, Paris
(34) Film difficile à voir, il a été projeté au Festival Gay et Lesbien 2002, et a provoqué l’unanimité, l’hilarité de la salle
(35) Le cinéma au féminisme, opus cité
(36) Anne-Marie Duguet, Vidéo, la mémoire au poing, éditions Hachette, Paris, 1981
(37) Photo anonyme, in Douze ans de femmes au quotidien, opus cité, p.15
(38) Photo de Catherine Deudon, in Un mouvement à soi, opus cité, p.56
(39) Jean-Louis Bory, « C’est comme ça…», Le Nouvel Observateur, 4 mars 1978
(40) Propos de Christine Delphy, militante au M.L.F, lors d’un débat organisé par No Pasaran, le 23 avril 2002, au CICP, Paris
(41) Photo anonyme, 1979, Douze ans de femmes au quotidien, opus cité, p.44
(42) Ibid, pp.45-46
(43) voir le manifeste « Pour un cinéma non sexiste », élaboré par des femmes lors de la Rencontre d’Utrecht, août 1977, reproduit dans le hors-série d’Ecran 78 : « nous ne voulons pas que la reconnaissance de la lutte antisexiste soit une concession octroyée au mouvement des femmes, un os que l’on nous jetterait à ronger pour nous empêcher d’aboyer. Nous voulons que chaque personne prenne conscience qu’elle est profondément et intimement concernée par cette question, quels que soient son âge, son sexe, sa profession, sa nationalité », p. 82
(44) Claire Clouzot, « Le grand “F” et les autres », in Ecran Spécial Femmes, n°28, août-septembre 1974, p. 5
(45) Monique et Guy Hennebelle, « Le sexisme ordinaire ou la phallocratie dans le cinéma français », ibid, p. 72
(46) Ibid, p. 73
(47) Françoise Audé, Ciné-modèles, cinéma d’elles, opus cité, p. 56
(48) Ibid, p. 51
(49) Photo de Catherine Deudon, 28 mai 1972, Un mouvement à soi, opus cité, p.40
(50) Voir les fiches techniques et artistiques de chaque film en annexe
(51) Christine Delphy, « L’ennemi principal », in Partisans, opus cité, p.157
(52) Le fils et les clients symbolisent l’ordre patriarcal, l’un le dévouement domestique, les autres le devoir conjugal, voir l’analyse de Janet Bergstrom pour Camera Obscura, en annexe
(53) « La fiancée du pirate », Claude Garson, L’Aurore, 9 décembre 1969
(54) « Pauvre fille ! », J. Ro, La Croix, 20 décembre 1969
(55) Propos d’Agnès Varda in « Regards sur Agnès Varda, cinéaste française », Visuelles n°2, Septembre 1980, p. 26
(56) Ibid
(57) Propos d’Agnès Varda recueillis par M.O.D, in « L’une chante, l’autre pas », Libération, 4 mars 1977
(58) Michèle Rosier avait réalisé en 1973 Georges qui ?, une fiction originale interprétant la vie de Georges Sand
(59) Ce que n’avait pas réussi à faire Jeanne Dielman. Dans les deux films le mariage symbolisent l’ordre patriarcal, et celui-ci s’effrite avec l’absence du mari
(60) « Qu’est-ce que le succès d’un film? », Jean-Pierre Jeancolas in Le cinéma des français, la Vè République, 1958 – 1978, éditions Stock, Paris, 1979, pp. 91-94
(61) « Pourquoi pas! », Georges Dascal, La vie ouvrière, 10 janvier 1978
(62) Source: Annick Blondel, opus cité, p. 67
(63) « Revendiquer l’utopie, entretien avec Coline Serreau », Rouge, opus cité
(64) « Pourquoi pas! », Les fiches du cinéma : tous les films 1977, édition Chrétiens Médias, p. 333
(65) Julia Lesage, « Une esthétique politique : le documentaire féministe », in CinémAction n°9, opus cité, p. 155
(66) Propos de Chantal Akerman, recueillis par Claude-Marie Trémois, in « Jeanne Dielman, 23 quai du Commerce, 1080 Bruxelles », Télérama, 16 janvier 1976
(67) Propos de Chantal Akerman recueillis par Jacques Siclier in « Un film hyperréaliste sur l’occupation du temps », Le Monde, 22 janvier 1976
(68) B. Ruby Rich, « Des mots pour nous dire », CinémAction n°9, opus cité, p. 166
(69) Laurence Vidal, « Le cinéma féminin/féministe », in CinémAction n°1, Hors-série de la revue Ecran 78, 1978, Paris
(70) Rosine Grange et Viviane Ostrovsky, « Sortir les films de leurs boîtes », in Le cinéma au féminisme, op.cité, p. 97
(71) Doucha Belgrave, « Des quinzaines de films de femmes, pour quoi faire ? », ibid, p. 100
(72) Maryse Léon, « L’an prochain à Sceaux… », in Le cinéma au féminisme, op. cité, p. 101
(73) Couverture du journal Les Pétroleuses et photo anonyme, in Douze ans de femmes au quotidien, opus cité, pp.7 et 14
(74) Gertrud Koch, « La critique de cinéma féministe : essai de définition », in Le cinéma au féminisme, opus cité, p. 136
(75) Douze ans de femmes au quotidien, opus cité, p.10
(76) Monique Rémy, « Une culture des femmes », in De l’utopie à l’intégration, histoire des mouvements de femmes, éditions L’Harmattan, Paris, 1990, p. 119
(77) Annie Leclerc, Parole de femme, éditions Grasset et Fasquelle, 1974, pp.7-8
(78) Benoîte Groult, Ainsi soit-elle, éditions Grasset, 1975, p.34
(79) Ibid, p. 23
(80) Marie Cardinal, Les mots pour le dire, éditions Grasset, 1975, pp.300-305
(81) Beaucoup de films ne sont pas faciles à trouver aussi certains, qui seraient pourtant intéressants par rapport à notre problématique, sont absents de notre corpus : Ben et Benedict de Paula Delsol (1976), La jument vapeur de Joyce Bunuel (1978), L’amour violé de Yannick Bellon (1978)
(82) Marie-Jo Bonnet, « De l’émancipation amoureuse des femmes dans la cité », Les Temps Modernes n°598, avril 1998, pp. 85-112 : « la frontière entre homosexualité et hétérosexualité pouvait devenir très floue dans un mouvement comme le M.L.F »
(83) Monique Wittig, « la pensée straight », Questions féministes n° 7, 1980, pp. 45-53
(84) Monique Wittig, ibid
(85) Jean-Michel Frodon est historien et critique de cinéma au Monde, actuellement directeur de la rédaction des Cahiers du Cinéma
(86) Jean-Michel Frodon, L’âge moderne du cinéma français, éditions Flammarion, Paris, 1995, p.284
(87) Molly Haskell, From Reverence to Rape : the Treatment of Women in the Movies, University of Chicago Press, 1974, Etats-Unis (paru sous le titre La femme à l’écran en France, aux éditions Seghers en 1974)
(88) Ibid, p. 118
(89) Molly Haskell, La femme à l’écran, opus cité, p.122
(90) Par exemple, Letter from an Unknow Woman (Lettre d’un inconnue), Max Ophüls, 1948
(91) Raphaëlle Moine, Les genres du cinéma, éditions Nathan, 2002, p.100
(92) Maryse Léon, « L’ an prochain à Sceaux… », in Le cinéma au féminisme, opus cité, pp.101-102
(93) Par exemple, une expression revient souvent quand un critique veut faire l’éloge d’un film réalisé par une femme : il dit qu’il est « cousu-main »
(94) « Revendiquer l’utopie, entretien avec Coline Serreau », Rouge, 22 décembre 1977
(95) Nelly Kaplan, “ A nous l’histoire de nos folies”, Paroles…elles tournent, Des femmes de Musidora, édition Des femmes, Paris, 1976, p.14
(96) Molly Haskell, La femme à l’écran, opus cité, p. 117
(97) Véronique Nahoum-Grappe, Le féminin, collection « Questions de société », éditions Hachette, Paris, 1996, pp.25-26
(98) Marina Yaguello, Les mots et les femmes, éditions Payot, Paris, 1978.
(99) Ibid, p.178
(100) soit 29% des 5000 noms du Petit Robert, recensés par Edwige Khaznadar in Le nom de la femme, virtualisation idéologique et réalité linguistique, thèse de doctorat, université de Toulouse II, 1991
(101)Marina Yaguello, Les mots et les femmes, opus cité, p.79
(102) Ibid, p.185
(103) Ibid, p.168
(104) René Prédal, critique, essayiste est professeur de cinéma à l’université de Caen
(105) René Prédal, Le cinéma d’auteur, une vieille lune ?, collection 7è Art, éditions du Cerf, Paris, 2001 pp. 97-98
(106) René prédal, 50 ans de cinéma français, collection Réf., éditions Nathan, Paris, 1996, p. 627
(107) Françoise Audé, Cinéma d’elles, 1981-2001, éditions L’Age d’Homme, Lausanne, Suisse, 2002, p.9
(108) Propos d’Adrienne Rich au Congrés de l’Association des Langues Modernes, 1976, citée par B. Ruby Rich in « Des mots pour nous dire », Le cinéma au féminisme, opus cité, p. 166
(109) Denise Brahimi, op. Cité, p.139
(110) Francoise Audé, Cinéma d’elles,1981-2001, opus cité, p. 40
(111) Ibid, p.43
(112) Dominique Martinez, Femmes cinéastes, évolutions et contradictions du statut des réalisatrices vues à travers le Festival International de Films de Femmes, DEA Enjeux et mutations des sociétés et cultures en Europe, Université Paris 8, cité par Fraçoise Audé, ibid, p.41
Cette subjectivité, Benoite Groult la résume en ces mots: « Evidemment mes livres à moi parlent d’amour, c’est un sujet si féminin…quand il est traité par une femme. Mais quand c’est Flaubert qui décrit l’amour, cela devient un sujet humain. Il n’existe pas de sujet masculin pour la raison irréfutable que la littérature masculine, c’est LA littérature ! », in Ainsi Soit-elle, opus cité, p.31
(113) Jean-Michel Frodon, L’âge moderne du cinéma français, opus cité, p. 291
(114) B Ruby Rich, Le cinéma au féminisme, opus cité, p. 167
(115) cité par C. Delphy, in « Penser le genre, problèmes et résistances » , in L’ennemi principal II : penser le genre, éditions Syllepses, 2001, p.246
(116) Claire Johnston, « Woman’s film as a counter-cinema », Notes on Women’s Cinema, SEFT, Etats-Unis, 1973, traduction d’Isabelle Greenda et Bérénice Reynaud, in 20 ans de théories féministes sur le cinéma, CinémAction, n° 67, éditions Corlet, Condé-sur-Noireau, France, 1993, p. 158
(117) L’auteure fait référence notamment à Three Lives de Kate Millet, 1970 et aux films activistes
(118) Claire Johnston, « Woman’s film as a counter-cinema », opus cité, p.159
(119) Laura Mulvey, “Visual Pleasure and Narrative Cinema”, Screen, volume 16, n°3, 1975, Grande-Bretagne, pp.6-18
(120) Laura Mulvey, « Plaisir visuel et cinéma narratif », traduction française de Valérie Hébert et Bérénice Reynaud in 20 ans de théories féministes sur le cinéma, opus cité, p.18
(121) Laura Mulvey, « Plaisir visuel et cinéma narratif », opus cité, p.18
(122) Source: Annick Blondel, Cinéma de femmes, féministe ou féminin, opus cité, p. 71
(123) « Le refus d’être brûlée : La fiancée du pirate », Les Nouvelles Littéraires, 10 décembre 1969
(124) D’autant plus que Chantal Akerman met en place un dispositif cinématographique non-masculin : une réalisatrice, une chef-opératrice (Babette Mangolte), un personnage principal féminin
(125) « Chantal Akerman », Les Nouvelles Littéraires, 4 novembre 1975
(126) Denise Brahimi, Cinéastes françaises, opus cité, p.54
(127) Marguerite Duras citée par Denise Brahimi, Cinéastes françaises, opus cité, p. 58
(128) Propos de Chantal Akerman, recueillis par Claude-Marie Trémois, in Télérama, 16 janvier 1976
(129) Geneviève Sellier est historienne et maître de conférence en cinéma à l’université de Caen
(130) René Prédal, Le cinéma d’auteur, une vieille lune ?, opus cité, p. 52
(131) Geneviève Sellier, « Films de femmes de la Nouvelle Vague : une alternative au ‘‘cinéma d’auteur ’’? », in Au théatre, au cinéma, au féminin, éditions L’Harmattan, p. 139
(132) Ibid, p.139
(133) Ibid, p. 144
(134) Claude Brémont, Evelyne Sullérot et Simone Berton, « Conditions d’apparition de la Nouvelle Vague », enquête présentée par Edgar Morin, Communications n°1, 1962
(135) Geneviève Sellier, « Films de femmes de la Nouvelle Vague : une alternative au ‘‘cinéma d’auteur ’’?, opus cité, p. 142
(136) Geneviève Sellier, « Films de femmes de la Nouvelle Vague : une alternative au ‘‘cinéma d’auteur ’’? opus cité, p. 144
(137) Ibid, p. 143
(138) Geneviève Sellier, « Films de femmes de la Nouvelle Vague : une alternative au ‘‘cinéma d’auteur ’’?, opus cité, p. 154
(139) Roland Barthes, « La mort de l’auteur », Manteia, 1968 : « L’unité d’un texte n’est pas dans son origine mais dans sa destination […]. Pour rendre à l’écriture son avenir, il faut en renverser le mythe : la naissance du lecteur doit se payer de la mort de l’Auteur »
(140) Michel Foucault, « Qu’est-ce qu’un auteur ? », Bulletin de la Société française de philosophie, juillet-septembre 1969 : « Au moment précis où notre société est dans un processus de changement, la fonction-auteur va disparaître d’une façon qui permettra une fois de plus à la fiction et à ses textes polysémiques de fonctionner à nouveau selon un système contraignant, qui ne sera plus celui de l’auteur mais qui reste encore à déterminer ou peut-être à expérimenter »
(141) Anne Friedberg, Window Shopping: Cinema and the Postmodern, Uiversity of California Press, Berkeley, Etats-Unis, 1993, citée par Steven Bernas, in L’auteur au cinéma, Coll. Champ Visuel, éditions L’Harmattan, 2002, p. 353
(142) René Prédal, Le cinéma d’auteur, une vieille lune ?, opus cité, p. 134
(143) Brigitte Rollet, Coline Serreau, coll. French Film Editors, Manchester University Press, Grande-Bretagne, 1998
(144) Brigitte rollet, Coline Serreau, opus cité, pp. vii-viii, traduction personnelle
(145) Anne Friedberg, citée par Steven Bernas, L’auteur au cinéma, opus cité, p. 355
(146) Geneviève Sellier, « Une histoire du cinéma avec les femmes est-elle possible ? », in L’Histoire sans les femmes est-elle possible ?, Colloque Universitaire de Rouen, sous la direction de Anne-Marie Sohn et Françoise Thélamon, 27-29 novembre 1997, éditions Perrin, 1998, p. 144
(147) Jean-Michel Frodon, L’âge moderne du cinéma français, opus cité, p.284 , voir le chapitre III-1
(148) Marguerite Duras avait déjà collaboré avec Alain Resnais au scénario de Hiroshima mon amour en 1959
(149) Françoise Audé, Cinémodèles, cinéma d’elles, opus cité, p. 183
(150) voir en annexe différentes critiques du film à sa sortie en 1969
(151) Jean-Michel Frodon, L’âge moderne du cinéma français, opus cité, p. 284
(152) encoreféministes.free.fr
(153) spsr.online.fr
(154) chiennesdegarde.org
(155) Isabelle Alonso, Pourquoi je suis une chienne de garde, éditions Robert Laffont, 2001
(156) De la même manière ce mémoire travaille plus à justifier une approche genrée du cinéma qu’à approfondir des problématiques féministes
(157) Les réalisatrices représentent en France entre 15 et 20% de l’ensemble des cinéastes, une situation unique au monde
(158) Martinez, p.66
(159) Marie-Claude Arbaudie, éditorial du Film Français, mai 200, citée par Dominique Martinez in Femmes Cinéastes, opus cité, p.74
(160) Remarques personnelles liées à un stage effectué au FIFF en mars 2003
(161) Positif n°475, septembre 2000, p. 40
(162) Pascal Mérigeau, « Thanatos sous le masque d’Eros : la haine du monde », Le nouvel observateur, 22 juin 2000
(163) Olivier de Bruyn, « Le marécage porno », Le Point, 23 juin 2000
(164) François Gorin, « Baise-moi », Télérama, 28 juin 2000
(165) Olivier Joyard, « X, le retour », les Cahiers du Cinéma n°548, juillet-août 2000
(166) Martine Boyer, L’écran de l’amour, cinéma et érotisme, éditions Plon, Paris, 1990, p.127
(167) Brigitte Rollet et Geneviève Sellier, « Cinéma et genre en France : états des lieux », Clio, hostoire, femmes et sociétés, Clio Presses et Université du Mirail, Toulouse, octobre 1999, p.205
(168) Ginette Vincendeau, « Vu de Londres : mais où est passée la théorie féministe en France ? », Vingt ans de théories féministes sur le cinéma, CinémAction n° 67, Editions Corlet, Condé-sur-Noireau, 1993, p. 95
(169) Ibid, p. 99

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